Prix Pétrole - PicEnergie.org

OPEP : Un communiqué qui rapporte des milliards $

Il n’aura pas fallu plus de 5 heures aux membres de l’OPEP pour se mettre d’accord sur le contenu du communiqué de presse diffusé à l’issue de la rencontre. L’annonce de la diminution de la production pétrolière a surpris.  

Ce communiqué poursuit un effet double: 
1) Eviter que le prix du baril de pétrole ne repasse sous la barre des 40$  
2) Faire monter artificiellement les cours afin de soutenir les économies des 14 pays producteurs du cartel. 
Stratégiquement, l’OPEP a réussi un coup de maître.

Le Pétrole touche 26,05$ le baril à New York

Certains le voient à 20$ et d'autres remonter à 200$ le baril. Pour l'instant, il fraie son chemin à 26,05$ soit le plus bas depuis mai 2003. A Londres, il fait de la résistance et reste au-dessus des 30$ mais la probabilité de passer sous la barre n'est pas nulle.

Si la chute aux USA est plus grande et plus nette, c'est que les américains ne savent plus où le stocker alors qu'il y a encore de la marge en Europe et au Moyen-Orient. Les avis sont partagés sur l'évolution du baril et pile ou face apparaît une bonne option pour prévoir son évolution.

Quel est le véritable prix de vente d’un baril de pétrole ?

A la bourse, le baril est passé sous la barre des 30$. Si vous pensez que 30$ est un tarif très bas pour les producteurs de pétrole, sachez que seuls ceux qui extraient au niveau de qualité requis par les standards « Brent du Nord » ou le « WTI » américain peuvent espérer obtenir le tarif boursier. Et ils ne sont pas nombreux.

Pour les autres, les frais de transport, de raffinages ou de relations commerciales poussent les prix bien en-dessous des cours. Voici un inventaire alors que le prix de référence du Brent était à 30$.

Le pétrole plonge sous les 30 dollars le baril

Le calvaire continue pour les producteurs de pétrole: la baril est descendu à 29,42$ à New York et 31.01$ à Londres. Il faut remonter au 9 février 2004 pour trouver un cours aussi bas. Le baril a perdu 2$ durant les 2 derniers jours. Il avait terminé l'année à 37$ et on dirait que le baril n'a pas encore trouvé un parachute.

Cette fois, les traders montrent du doigts l'Iran qui pourrait conclure son accord avec Washington et déverser quelques millions de barils à un prix discount sur les marchés.

Pétrole: Le baril chute à 33$

Le baril de pétrole continue sa lourde chute et passe à 33,97 à New York et 34,23$ à Londres. Lors de la dernière crise de 2008, il avait fallu attendre un bas de 36$ pour voir les cours et l’économie remonter.

Cette chute intervient alors que pour la deuxième fois cette semaine les bourses de Shanghai et de Shenzen ont dû fermer prématurément après des baisses de 7% et que Pékin dévalue une nouvelle fois le yuan à 6,5646 yuans pour 1$, soit le taux le plus bas depuis mars 2011.

Pétrole : Le baril passe sous la barre des 40$

Le baril de pétrole a chuté à 38,24$ le baril à New York et 42,69$ à Londres et se retrouve au plus bas depuis 2009. A New York, le baril s'écoulait encore $ 45,45$ la semaine passée et à 62$ le 30 juin.

Pour les producteurs américains de pétrole de schiste, qui vendent leur baril avec une réduction de 20$ sur les cours, le scénario catastrophe tant redouté se produit et ce n’est qu’une question de temps pour que les faillites s’enchaînent. La Banque Nationale Suisse qui détient plus de 2,137 milliards $ dans l’industrie US de schiste, les pertes se montent déjà à plus de 700 millions $ et le phénomène s’amplifie.

Pétrole : L’AIE confiante avec un baril à 73$

L'Agence internationale de l'énergie (AIE) pense que le pétrole devrait remonter à 73$ d’ici à 2020 et que le prix du baril ne va pas explorer les sommets passés à plus de 120$. L’AIE table sur une stabilisation de la demande et la maîtrise de la production pour stabiliser les prix dans une fourchette comprise entre 50 et 100$.

Depuis 2 décennies avec la minutie d'un métronome, l’AIE manque tous les grands virages stratégiques et ses prédictions ne réalisent systématiquement pas. Ainsi c'est avec une certaine dose de certitude, que nous pouvons prévoir que le baril ne se contentera pas d'un minuscule 73$ en 2020 et que les prix dépasseront à nouveau les 120$

Le pétrole passe sous les 50 dollars le baril à New York

Le pétrole continue sa chute et vient de passer sous la barre des 50$ à New York, une première depuis le 27 avril 2009. Il vous faudra puiser 47,93$ dans votre poche pour acheter les 159 litres d'un baril à New York et 51.10$ à Londres.  Mais jusqu'où la baisse ira-t-elle? La question ne semble pas avoir une réponse claire pour l'instant.

Depuis le mois de juin 2014, le pétrole a perdu plus de 50% de sa valeur. Une telle attaque, aussi bien coordonnée dans le temps, semble provenir d'une entente entre  plusieurs producteurs comme l'Arabie Saoudite, Koweit, USA; les hedge funds et certaines banques. Pour les instigateurs, leurs espoirs ont certainement dépassé leur attentes alors que la croissance mondiale devrait être positivement impactée de +1,2%.

Le baril de pétrole passe sous les 60$

Le crash pétrolier continue de faire son bonhomme de chemin. Le baril de pétrole vient de passer sous les 60$ à Londres à 59,86 pour être précis. A New York, il touche les 55,93$ bien loin du seuil de rentabilité des forages off-shore ou de fraking (pétrole de schiste). Nous venons d’atteindre le plus bas niveau depuis mai 2009 avec une chute de 50% depuis les 120$ du mois de juin 2014.
Nous ne savons pas qui a eu l’idée de faire exploser les prix, mais le monstre s’est transformé en Frankenstein et plus personne ne sait comment arrêter cette machine infernale.

Pétrole: le baril passe sous la barre des 60$ à New York

C'est une première depuis le 7 mai 2009. Le baril est passé en dessous des 60$ à New York et 63$ à Londres. Le crash pétrolier actuel est très violent et personne ne sait où le baril va se loger dans les mois à venir. Il y a peine 4 mois, toute personne sensée pariait sur un baril à 120$ et le voilà qu'il repart dans l'autre direction et ravage les investissements dans les techniques onéreuses.

Depuis le mois de juin, le baril a perdu presque la moitié de sa valeur. Il semble que les hedge funds ont quitté le navire et la pression exercée par l'Arabie Saoudite porte ses fruits. Mais où va le baril?

Egypte: Forte Augmentation des prix de l'Electricité et de l'Essence

Le nouveau président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a pris le taureau par le cornes afin de réduire le déficit du budget du pays. l’Etat consacre plus de 30% de son budget aux subventions sur l'essence, l'électricité et les produits alimentaires.

Ainsi il passera aux oubliettes les subventions sur les carburants et l'électricité alors que le Caire finance à hauteur de 25 % les prix de l'énergie. L'essence super 92 va augmenter de 40%, la Super 80 de 78% et le Diesel utilisé par les microbus et les transports en commun, + 63 %. L'électricité devrait doubler graduellement durant les 5 ans à venir.

Pétrole: Chute des Prix. L'Iran veut une réunion d'urgence

L'Iran va demander à l'OPEP de convoquer une réunion d'urgence en raison de la chute actuelle des cours du pétrole. Lundi, le prix du pétrole est passé sous le seuil psychologique des 100 dollars le baril à Londres. Une première depuis juillet 2012. Son prix a baissé de 2%, à 98,56 dollars. A New York, le baril a touché les 87,30$ ce mardi.

Le budget de l'Iran dépend fortement des revenus du pétrole et du gaz. Nous comprenons l'empressement du gouvernement. La prochaine réunion de l'OPEP est prévue le 31 mai, mais l'Arabie Saoudite, qui voit d'un bon oeil les difficultés de son concurrent, voudra certainement mettre son grain de sable dans la proposition iranienne.

Arabie: Le prix du brut à 100 dollars le baril est «raisonnable»

L'actuel plus grand producteur de pétrole et le leader de l'OPEP, l'Arabie Saoudite, pense «raisonnable» un prix du brut à 100 dollars le baril, alors que les cours étaient à la hausse après l'accord sur un plan de sauvetage à Chypre.

«En 1997, je pensais qu'un prix à 20 dollars était raisonnable. En 2006, je pensais aussi qu'à 27 dollars il était raisonnable», a déclaré le ministre saoudien du Pétrole, Ali al-Nouaïmi, à des journalistes en marge d'une conférence à Koweït sur le pétrole dans le Golfe. «Maintenant, il est autour de 100 dollars (le baril) et je dis encore que c'est raisonnable», a-t-il dit.

Chute Mystérieuse des Cours du Pétrole

Ce lundi soir, nous avons assisté à une belle animation du côté du pétrole et de New York. Au début c'était calme. Puis à l'approche de la clôture, c'est devenu un-peu-trop-plus-moins calme.

Le baril, qui s'était maintenu dans la zone des 99-100$, durant toute la journée s'est fait soudainement attaquer de toutes parts et le prix du brut plongeait jusqu'à 94$ et des poussières en l'espace de quelques secondes.

Tout le monde est toujours en train de se gratter la tête. Personne n'est vraiment en mesure de dire ce qui s'est produit.

Pétrole: Les Prix du Baril contre les prix de l'Essence

 

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Date Essence 95 Variation Diesel Variation Prix Baril
Londres
Variation Prix Baril 
NY
Prix du $
                 
                 
                 
16 sept 12 1.88 -0.09 1.95 -0,08 116.90 +3 99.06 0.966
Euro France 1.90   1.71          
5 sept 2012 1.97 +18 2.03 +0,15 113.20 +8 95.57 0.97
Euro France 1.93*   1.74*          
18 juin 2012 1.79 0 1.885 0 105.50 +5 90.32 1.01
Euro France 1.93   1.78          
17 juin 2012 1.79 -0,02 1.885 0 100.32 +1 88.78  
Euro France 1.89   1.69          
11 juin 2012 1.81 0 1.89 0 99.77 +2 85.41  
Euro France 1.89   1.69          
10 juin 2012 1.81   1.89 0 97.57   84.90  
Euro France 1.86   1.69          

* baisse des tarifs François Hollande 6 cts

Le Pétrole passe sous les 90$ à Londres et 80$ à New York

Pour la première fois en huit mois, le pétrole a passé sous le seuil des 80 dollars le baril à New York (78,63$). De même, à Londres, le baril de Brent de la mer du Nord a fortement chuté de 3,46 dollars à 89,23 dollars, sous la barre des 90 dollars, à un niveau plus vu depuis décembre 2010.

Le bougre a perdu un tiers de sa valeur depuis mars alors qu'il dépassait les 110$ à NY et les 127$ à Londres. L'Arabie Saoudite inonde les marchés histoire de mettre la pression sur l'Iran et l'Irak et soulager les électeurs automobilistes américains alors qu'en Europe, nous mettons naïvement cette baisse sur le dos de la Grèce et de l'Espagne!

Inde: Le Pétrole représente 30% des importations

A l'instar de l'Europe et des Amériques, les pays asiatiques et du Moyen-Orients subventionnent les carburants vendus dans leur pays et plafonnent les prix à la pompe. Le concept permet aux automobilistes locaux de pouvoir rouler sans subir l'impact des cours sur les marchés internationaux.

Ce concept avait été imaginé et implanté alors que le baril ne dépassait pas les pâquerettes. Mais depuis que le baril flirte avec les 100$, il étouffe littéralement ces pays. Le 24 mai, c'est l'Inde qui a une nouvelle fois dû augmenter les prix de 12% des carburants. Evidement que les automobilistes en sont pas très content.

Pétrole: OCDE Alarme. L'Arabie veut baisser les cours

L'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) prévient que la hausse des cours du pétrole actuelle menace la reprise économique et la croissance des pays industrialisés.

De son côté, le ministre saoudien du pétrole, Ali Al-Naimi annonce dans une interview au Financial Times, que l'Arabie Saoudite "agira pour baisser les prix du pétrole élevés".  Un message identique avait déjà été envoyé il y a quelques semaines sans grand résultat...

Pétrole: Le baril a pris 10$ en quelques jours

Comme la petite bête qui monte, qui monte, les cours du pétrole montent, montent et montent. En quelques jours, le baril a pris un billet de 10 dollars à New York et à Londres. Bon le dollars n'est plus ce qu'il n'était mais quand même. Le baril touche les 108$ à New York et 123$ à Londres.

Le coupable désigné est l'Iran qui joue au chat et la souris avec les occidentaux. Le bras de fer entre les deux protagonistes est en train de laisser des traces dans les deux camps. En Iran, la situation économique devient de plus en plus tendue. Les Etats-Unis, en pleine campagne présidentielle, sont en train de voir le prix du gallon dépasser les 4$ en Californie. Bref, nous sommes tous dans la même Galère!

Le Pétrole perd 10$ en une semaine

Les prix du pétrole ont chuté cette semaine après que l'Organisation des pays exportateurs du pétrole (OPEP) ait décidé d'augmenter ses quotas de production de pétrole. Les quotas, initialement fixés à 24,845 millions de barils ont été augmenté à 30 millions de barils par jour. A New York, le WTI a perdu presque 10$ en quelques petites séances.

Selon l'Opep, la Libye sera capable de retourner à sa production d'avant la révolution d'ici à quelques mois. Mais de son côté, l'Arabie Saoudite a annoncé qu'elle n'allait pas continuer ses investissements pour pousser sa production à 15 millions de barils/jour d'ici à 2015. Derrière cette baisse, Goldman Sachs doit également tirer son épingle du jeu.

Pétrole: Belle Poussée de Fièvre à New York

Les prix du pétrole ont fini hier lundi en forte hausse, atteignant un record depuis le 3 août 2011 à New York. On vous évite le blah, blah sur la faiblesse du dollar, la Grèce et les manigances de Goldman Sachs pour manipuler les cours. Bref, le baril de light sweet crude a bondi de plus de 4 dollars à 91,75 dollars sur le New York Mercantile Exchange.

A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre a conclu à 111,45 dollars sur l'Intercontinental Exchange, en hausse de 1,92 dollar par rapport à la clôture de vendredi et 11$ de plus par rapport au début du mois. Belle performance!

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